Jupes de jeune fille, petits hauts de fillettes
Après l'article consacré à ma "Péoria" préférée, voici les deux premières que j'ai cousues.
Ordinairement, je n'aime pas le parme (ni le violet d'ailleurs) mais, pimenté d'un peu de rouge, j'accepte d'étouffer mes a priori. J'ai néanmoins une certaine tendresse pour cette première version découpée dans deux jupes Etam de ma jeunesse triomphante. J'aime que les tissus circulent, vivent plusieurs vies, se réincarnent..., vous l'avez compris !
Panacher les boutons et les tissus, ajouter du passepoil au gré des envies... ce n'est pas le moindre des plaisirs que ce patron permet.
Une deuxième version, où seuls le passepoil vert fluo et les boutons tentent de décoiffer timidement le très sage coupon de liberty (qui m'avait plu il ya des lustres car il reprenait les papiers peints de William Morris dont je m'étais entichée).