jaune printemps
Les coucous sont avec le lilas (et la glycine !) la quintessence du printemps, n'est-il pas ?
Une deuxième tentative de plagiat de tunique Marie de Citronille version manches papillon. Que dis-je plagiat ? Il s'agit d'un petit larcin bien anodin.
J'ai agrandi les manches pour qu'elles papillonnent davantage, roulotté l'ourlet à la surjeteuse pour gagner en légèreté.
Une taie d'oreiller jaune printemps très douce qui patientait depuis des lustres.
On parle d'"aiguillée de fainéante" pour qualifier les longs morceaux de fil de celles qui renâclent à passer souvent le fil dans le chas de l'aiguille et à faire des noeuds patients et efficaces, on peut aussi parler de fronces de fainéante pour les coulisses élastiquées : c'est moins raffiné mais c'est plus rapide !