Taie d'oreiller japonisante = top estival
Le même principe que la robe à bretelles du billet précédent. La grande n'en est pas revenue : elle avait à peine tourné le dos que ce petit haut était déjà cousu ! Une taie d'oreiller lilliputienne chinée ce jour-là, au charme moucheté japonisant rehaussé d'un trait vert un peu dur pour rappeler les roseaux.
Il va falloir que je me retienne de ne pas en coudre dix d'affilée, de ces oiseaux-là !
Petite précision technique : le descriptif prévoit de coudre la coulisse pour l'élastique du haut du corsage avec un simple ourlet mais je ne vois pas comment repasser proprement un ourlet sur un tracé incurvé. Par conséquent, j'ai préféré coudre un biais (devant et dos) après avoir raboté le bord supérieur de chaque pièce d'un petit centimètre.