Ponceuse excentrique et compagnie
Avec un nom pareil, forcément qu'elle est mon amie, la ponceuse.
Une grande qui s'apprête à rentrer au CP et, soudain son bureau, chiné il y a quelques années 10 euros chez qui vous savez (voyez comme j'adore montrer combien j'ai le sens des affaires), m'a semblé décidément trop barbouillé pour "faire ses devoirs". J'étais presque venue à bout des taches en tous genres quand m'est venue l'idée saugrenue d'éradiquer la dernière avec de la lessive Saint-Marc : j'en fus quitte pour une gigantesque auréole verte vraiment pas ragoûtante. Pas d'autre solution que de laquer le plateau avec un fond de pot. Pour le reste : vernis incolore brillant (même pour les tubes noirs que j'ai laissés en l'état, piqués de rouille).
Ce qui m'agace, comme pour les tissus ou les oiseaux, c'est que je suis incapable de reconnaître les différents bois. Qui veut bien m'apprendre ? Quand je ne sais pas nommer, je me sens incomplète, frustrée.
La question à 100 francs : Combien de temps le plateau restera-t-il blanc ?