Voyage immobile : de la Bretagne au Japon
Dans la série rien-ne-se-perd-tout-se-transforme, je demande la veste Sydney de C'est dimanche, troisième du genre mais première en taille 8 ans (précédentes ici et là). Question carrure, il faut bien ça pour mon aînée de six ans tout juste qui a hérité des épaules "athlétiques" de sa mère !
N'est-il pas beau, mon rideau décoloré ? Et mon coupon d'ameublement plus-laid-tu-meurs, ne vous a-t-il pas un petit air japonisant, à y regarder de plus près ?
J'avais envie d'une veste un peu discrète (j'ai bien dit "un peu"), aux couleurs comme qui dirait "bretonnes" : ciel d'un gris intense (tissu extérieur) avec une déchirure de lumière blonde, une langue de sable étincelante (la doublure). Vous me suivez ?
Finalement, je regrette d'autant moins d'avoir acheté ce coupon "franchement laid" que ses papillons ont l'heur de plaire aux filles : un soupçon de démagogie pour parvenir à mes fins ! Mais, ô malheur, il m'en reste encore...
Avec un jean, elle devrait me plaire.
Pour le choix des boutons : suite au prochain numéro.
Passe-partout, non ? En fait ce rideau est fantastique : un tombé impeccable, il ne godaille pas d'un iota.